Etre ou ne pas etre IDE

Publié le par Milie

Des petites nouvelles par un temps gris, maussade et froid (brrr). J'ai quelque heures d'attentes à écouler dans ma merveilleuse école de soins infirmier chéri que j'aime à la folie (ironie!).

Voilà donc comme sus dit précédemùent dans mon blog, je suis en stage jusqu'à ce soir en réanimation neurologique. Ce n'est pas super évident comme stage, je ne vous ferai pas un laïus (je sé pa coman sa sécri!) sur les différentes pathologies et histoire de vie dramatique que j'y rencontre, car c'est mon choix pas le votre.

Cependant, je commence à en avoir vraiment assez de ces infirmières frustrées de la vie que je rencontre à l'hopital, elles sont vraiment pathétiques parfois et leurs but unique parait etre non pas le confort de leurs patient mais plutot, "quand est-ce que je suis de repos" "quels stratagèmes vais-je mettre en place pour saouler un peut plus les étudiants" et "ces médecins n'y entendent rien à la médecine". Franchement je ne comprend pas l'intéret d'etre la si on a pas envie d'y etre. N'entendez pas par ce discours que moi plus que les autres mon unique but est le confort des patients ou autre, non, moi aussi j'aime etre de repos, pas travailler le week end et tout et tout, mais bon quand j'arrive en service je fait en sorte que mon premier regard ne soit pas sur mon planning mais sur le travail que je dois accomplir, que j'ai choisi et qui me plais.

Ce n'est pas qu'elles n'aiment pas leur profession (enfin j'espere), je pense que comme moi elles ne sont pas là par hasard, mais le chu les a rendu ainci, en les usant jusqu'à épuisement, en refusant les mutations en les faisant revenir sur leurs repos à cause des sous effectifs et du manque de personnel, la motivation s'évanoui vite dans des conditions pareilles.

Il n'en reste pas moins que le résultat est à mon sens dramatique, la prise en charge et minimale l'agressivitée est maximale, et le résultat c'est que moi "pauvre petite étudiante Causette" et bien je me demande ce que je fais au milieux de tout ce bordel qui ne ressemble pas à ce que je désirais. Alors voilà j'ai commencé ces études je les terminerai car je suis une glue qui n'a pas pour habitude de reculer devant les obstacles, mais ce qui est certain c'est que j'y laisse des plumes que je n'aurais pas du perdre au départ.

Enfin heureusement, que tout vas bien à coté et que le ciel n'est gris qu'à l'hôpital, comme quoi quand quelque chose vas pas top d'un côté les autres (côtés) vont super bien (meme mieux), mais serai-ce trop demander que tout aille bien partout?

Ne vous inquiétez pas pour ce questionnement professionnel qui j'espère n'est que passager, je changerais vite d'avis, quand vétu de blanc je serais aupres de mes malades je me sentirais bien.

Comment terminer cet article... Juste merci à ce garçon de faire battre mon coeur.

Publié dans moncorpsmabataille

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